La FCCI et le PJCI- Anyama : Partenaires pour l’éducation
La journée du samedi 05 mars 2022 a scellé pour la Fondation Croire Côte d’Ivoire, le début d’un partenariat. Celui avec la section Anyama du Parlement des Jeunes de Côte d’Ivoire. La fondation Croire Côte d’Ivoire (FCCI) se résout à contribuer, former et aider les jeunes, les femmes et les enfants à travers les valeurs du travail. Un engagement communautaire, avec l’éducation pour élément cardinal.
Sur le terrain du Foyer des Jeunes d’Anyama, femmes, filles, jeunes et autorités se sont réunis pour un but commun : assister à la cérémonie organisée par le PJCI-Anyama. La rentrée officielle pour un programme d’alphabétisation à l’endroit des femmes de la commune.
L’équipe du parlement œuvre à apporter une solution à travers l’éducation. « Au lendemain de notre investiture à Anyama, le PJCI Anyama a fait de l’éducation et la culture du mérite et de l’excellence un urgent combat dans la commune d’Anyama dont l’éducation va de mal en pis. Une commune dans laquelle la délinquance juvénile et l’insécurité deviennent un mode de vie », a souligné Sanogo Moussa, le président du parlement des jeunes de Côte d’Ivoire d’Anyama.
Pour agir plus vite, le PJCI trouve en sa stratégie, le choix d’une synergie. Rassembler des idées constructives. Unir des forces pour impacter grandement. Une nécessité qui permet à la structure de porter un regard sur des partenaires de qualité. Eux aussi, engagés pour l’éducation. « A Nos partenaires que sont l’ONG Femmes pluriells et la Fondation Croire Côte d’Ivoire que dirige M. Guébo, qui a fait mains et pieds pour mettre à la disposition de nos apprenantes du matériel d’apprentissage nécessaire, nous vous disons merci pour l’intérêt que vous accordez à l’éducation et à l’autonomie intellectuelle des femmes d’Anyama », a témoigné le président du PJCI-Anyama.
Le projet touchera 2500 femmes d’ici l’année 2025. Les cours débuteront le samedi 12 mars 2022. Les femmes d’Anyama recevront de la Fondation Croire Côte d’Ivoire « 200 kits scolaires pour les accompagner et les inciter à travailler. Et à sortir transformées et autonomes », a indiqué Israël Guébo, président de ladite Fondation.